Edwardsiella andrillae, Antarctic sea ice, ANSMET

Edwardsiella andrillae : Edwardsiella andrillae est une espèce d'anémone de mer qui vit uniquement ancrée sous la glace de mer au large de l'Antarctique. Il a été découvert en décembre 2010 lors d'un essai d'un robot sous-marin par une équipe de chercheurs associés au programme de forage géologique de l'Antarctique (ANDRILL). L'anémone nouvellement découverte a été nommée pour le programme susmentionné.
Glace de mer antarctique : La banquise antarctique est la banquise de l'océan Austral. Il s'étend de l'extrême nord en hiver et se retire presque jusqu'au littoral chaque été, se rapprochant de plus en plus du littoral chaque année en raison de la fonte des glaces marines. La glace de mer est de l'eau de mer gelée qui fait généralement moins de quelques mètres d'épaisseur. C'est le contraire des plates-formes de glace, qui sont formées par les glaciers, elles flottent dans la mer et ont jusqu'à un kilomètre d'épaisseur. Il existe deux subdivisions de la banquise : la banquise côtière, qui est attachée à la terre ; et les banquises, qui ne le sont pas.
ANSMET : L'ANSMET est un programme financé par le Bureau des programmes polaires de la National Science Foundation qui recherche des météorites dans les montagnes transantarctiques. Cette zone géographique sert de point de collecte pour les météorites qui sont à l'origine tombées sur les vastes champs de glace à haute altitude dans tout l'Antarctique. Ces météorites sont rapidement recouvertes par les chutes de neige qui s'ensuivent et commencent un voyage de plusieurs siècles en "descendant" à travers le continent antarctique tout en étant incrustées dans une vaste couche de glace qui coule. Des portions de cette glace qui coule peuvent être arrêtées par des barrières naturelles telles que les montagnes transantarctiques. L'érosion éolienne subséquente de la glace immobile ramène les météorites piégées à la surface une fois de plus où elles peuvent être collectées. Ce processus concentre les météorites dans quelques zones spécifiques à des concentrations beaucoup plus élevées qu'elles ne se trouvent normalement partout ailleurs. Le contraste entre les météorites sombres et la neige blanche et l'absence de roches terrestres sur la glace rendent ces météorites relativement faciles à trouver. Cependant, la grande majorité de ces météorites incrustées de glace finissent par glisser sans être découvertes dans l'océan.
Cormoran antarctique : Le cormoran antarctique, parfois appelé le cormoran impérial, cormoran roi, shag impérial, à poils longs yeux bleus ou cormoran antarctique, est la seule espèce de la famille cormoran trouvée dans l'Antarctique. Il est parfois considéré comme conspécifique avec le cormoran impérial.
Poisson d'argent de l'Antarctique : Le poisson d'argent de l'Antarctique est une espèce de notothen originaire de l'océan Austral et le seul poisson véritablement pélagique dans les eaux proches de l'Antarctique. C'est une espèce clé de l'écosystème de l'océan Austral.
Labbe brun : Le labbe brun , également connu sous le nom de labbe antarctique, labbe subantarctique , grand labbe du sud, labbe du sud ou hakoakoa (Māori), est un grand oiseau de mer qui se reproduit dans les zones subantarctique et antarctique et se déplace plus au nord lorsqu'il ne se reproduit pas. Sa taxonomie est très complexe et sujette à controverse, certaines la divisant en deux ou trois espèces : le labbe Falkland, le labbe Tristan et le labbe subantarctique. Pour confondre encore plus, il s'hybride à la fois avec les labbes polaires sud et chiliens, et l'ensemble du groupe a été considéré comme une sous-espèce du grand labbe, une espèce autrement limitée à l'hémisphère nord.
Croiseur des neiges de l'Antarctique : L' Antarctique Snow Cruiser était un véhicule conçu de 1937 à 1939 sous la direction de Thomas Poulter, destiné à faciliter le transport en Antarctique lors de l'expédition de service en Antarctique des États-Unis (1939-1941). Le Snow Cruiser était également connu sous le nom de « Le Pingouin », « Penguin 1 » ou « Tortue » dans certains documents publiés.
Cryptopygus antarcticus : Le collembole antarctique , Cryptopygus antarcticus , est une espèce de collembole originaire de l'Antarctique et de l'Australie. Cryptopygus antarcticus mesure en moyenne 1 à 2 millimètres (0,04 à 0,08 po) de long et ne pèse que quelques microgrammes. Comme d'autres collemboles, le collembole antarctique s'est également avéré utile en tant que bioindicateur de pollution et a été utilisé pour étudier la pollution microplastique en Antarctique.
Timbres-poste et histoire postale du territoire britannique de l'Antarctique : Le territoire britannique de l'Antarctique ( BAT ) est un secteur de l'Antarctique revendiqué par le Royaume-Uni comme l'un de ses 14 territoires britanniques d'outre-mer. Il comprend la région au sud de la latitude 60°S et entre les longitudes 20°W et 80°W , formant une forme de coin qui s'étend jusqu'au pôle Sud. Le territoire a été formé le 3 mars 1962, bien que la revendication du Royaume-Uni sur cette partie de l'Antarctique remonte aux lettres patentes de 1908 et 1917. La zone actuellement couverte par le territoire comprend trois régions qui, avant 1962, étaient administrées par les Britanniques comme dépendances séparées des îles Falkland : Graham Land, les îles Orcades du Sud et les îles Shetland du Sud.
Raie étoilée de l'Antarctique : La raie étoilée de l'Antarctique est une espèce de poisson de la famille des Rajidae. Il vit près des fonds marins à des profondeurs allant de 20 à 350 m dans le sud-est du Pacifique, près du Chili et de l'île de Géorgie du Sud. Sa longueur maximale est de 1 m. Il produit des capsules d'œufs oblongues qui ont quatre épines acérées dans chaque coin et mesurent 116,5 mm de long et 80,0 mm de large
Liste des lacs sous-glaciaires de l'Antarctique : Un inventaire en cours des lacs sous-glaciaires en Antarctique. Compilé à partir de : Découvertes des années 1970 à 2012 via : Wright, A., et Siegert, M. (2012). Un quatrième inventaire des lacs sous-glaciaires de l'Antarctique . Science antarctique 24, 659-664
Télescope submillimétrique antarctique et observatoire à distance : Antarctique Submillimeter Telescope and Remote Observatory , ou AST/RO , était un télescope hors axe de 1,7 mètre de diamètre pour la recherche en astronomie et aéronomie à des longueurs d'onde comprises entre 0,2 et 2 mm. L'instrument a fonctionné entre 1994 et 2005 au pôle Sud avec quatre récepteurs hétérodynes et trois spectromètres acousto-optiques. Il a été remplacé par le télescope du pôle Sud de 10 m.
Sterne antarctique : La sterne antarctique est un oiseau marin de la famille des Laridés. Il s'étend dans tous les océans du sud et se trouve sur de petites îles autour de l'Antarctique ainsi que sur les rives du continent. Son régime alimentaire se compose principalement de petits poissons et de crustacés. Son apparence est très similaire à celle de la sterne arctique étroitement apparentée, mais elle est plus trapue et se trouve dans son plumage nuptial pendant l'été austral, lorsque la sterne arctique a perdu ses vieilles plumes pour obtenir son plumage non nuptial. La sterne antarctique ne migre pas comme la sterne arctique, mais elle peut encore être trouvée sur une très large aire de répartition. Cette espèce de sterne est en fait plus étroitement liée à la sterne sud-américaine.
Revendications territoriales en Antarctique : Sept États souverains ont fait des revendications territoriales en Antarctique, à savoir l'Argentine, l'Australie, le Chili, la France, la Nouvelle-Zélande, la Norvège et le Royaume-Uni. Ces pays ont eu tendance à placer leurs installations d'observation et d'étude scientifiques de l'Antarctique dans leurs territoires revendiqués respectifs; cependant, un certain nombre de ces installations sont situées en dehors de la zone revendiquée par leurs pays d'exploitation respectifs, et des pays sans revendications comme l'Inde, l'Italie, la Russie, le Pakistan, l'Ukraine et les États-Unis ont construit des installations de recherche dans les zones revendiquées des pays.
Revendications territoriales en Antarctique : Sept États souverains ont fait des revendications territoriales en Antarctique, à savoir l'Argentine, l'Australie, le Chili, la France, la Nouvelle-Zélande, la Norvège et le Royaume-Uni. Ces pays ont eu tendance à placer leurs installations d'observation et d'étude scientifiques de l'Antarctique dans leurs territoires revendiqués respectifs; cependant, un certain nombre de ces installations sont situées en dehors de la zone revendiquée par leurs pays d'exploitation respectifs, et des pays sans revendications comme l'Inde, l'Italie, la Russie, le Pakistan, l'Ukraine et les États-Unis ont construit des installations de recherche dans les zones revendiquées des pays.
Revendications territoriales en Antarctique : Sept États souverains ont fait des revendications territoriales en Antarctique, à savoir l'Argentine, l'Australie, le Chili, la France, la Nouvelle-Zélande, la Norvège et le Royaume-Uni. Ces pays ont eu tendance à placer leurs installations d'observation et d'étude scientifiques de l'Antarctique dans leurs territoires revendiqués respectifs; cependant, un certain nombre de ces installations sont situées en dehors de la zone revendiquée par leurs pays d'exploitation respectifs, et des pays sans revendications comme l'Inde, l'Italie, la Russie, le Pakistan, l'Ukraine et les États-Unis ont construit des installations de recherche dans les zones revendiquées des pays.
Revendications territoriales en Antarctique : Sept États souverains ont fait des revendications territoriales en Antarctique, à savoir l'Argentine, l'Australie, le Chili, la France, la Nouvelle-Zélande, la Norvège et le Royaume-Uni. Ces pays ont eu tendance à placer leurs installations d'observation et d'étude scientifiques de l'Antarctique dans leurs territoires revendiqués respectifs; cependant, un certain nombre de ces installations sont situées en dehors de la zone revendiquée par leurs pays d'exploitation respectifs, et des pays sans revendications comme l'Inde, l'Italie, la Russie, le Pakistan, l'Ukraine et les États-Unis ont construit des installations de recherche dans les zones revendiquées des pays.
Heure en Antarctique : L'Antarctique se trouve sur chaque ligne de longitude, car le pôle Sud est situé sur le continent. Théoriquement, l'Antarctique serait situé dans tous les fuseaux horaires ; cependant, les zones au sud du cercle antarctique connaissent des cycles jour-nuit extrêmes à proximité des solstices de juin et décembre, ce qui rend difficile de déterminer quel fuseau horaire serait approprié. Pour des raisons pratiques, les fuseaux horaires sont généralement basés sur des revendications territoriales ; cependant, de nombreuses stations utilisent l'heure du pays auquel elles appartiennent ou le fuseau horaire de leur base d'approvisionnement. Les stations à proximité peuvent avoir des fuseaux horaires différents, en raison de leur appartenance à différents pays. De nombreuses régions n'ont pas de fuseau horaire car rien n'est décidé et il n'y a même pas d'établissements temporaires dotés d'horloges. Ils sont simplement étiquetés avec l'heure UTC.
Légine antarctique : La légine antarctique est une espèce de notothen originaire de l'océan Austral. On l'appelle souvent à tort morue antarctique, ce qui correspond à l'appellation erronée d'autres poissons antarctiques notothénioïdes comme morues rocheuses. Cependant, les poissons notothénioïdes ne sont pas étroitement liés aux morues, qui appartiennent à un autre ordre taxonomique, les Gadiformes. Le nom générique Dissostichus vient du grec dissos (double) et stichus (ligne) et fait référence à la présence de deux longues lignes latérales, très importantes pour l'écologie de l'espèce. Le nom commun « légine » fait référence à la présence d'une dentition bisériale dans la mâchoire supérieure, censée lui donner une apparence semblable à celle d'un requin. L'habitat de la légine antarctique se trouve dans des eaux inférieures à zéro degré sous la latitude 60°S.
Tourisme en Antarctique : Le tourisme en Antarctique a commencé par la mer dans les années 1960. Les survols aériens de l'Antarctique ont commencé dans les années 1970 avec des vols touristiques effectués par des avions de ligne en provenance d'Australie et de Nouvelle-Zélande, et ont repris dans les années 1990. La saison de tournée (d'été) dure de novembre à mars. La plupart des 14 762 visiteurs estimés en Antarctique de 1999 à 2000 étaient en croisières maritimes. Au cours de la saison touristique 2009 à 2010, plus de 37 000 personnes ont visité l'Antarctique.
Système du Traité sur l'Antarctique : Le Traité sur l'Antarctique et les accords connexes, collectivement connus sous le nom de Système du Traité sur l' Antarctique ( ATS ), réglementent les relations internationales concernant l'Antarctique, le seul continent de la Terre sans population humaine indigène. Aux fins du système des traités, l'Antarctique est défini comme l'ensemble des plateaux terrestres et glaciaires au sud du 60°S de latitude. Le traité est entré en vigueur en 1961 et compte actuellement 54 parties. Le traité met l'Antarctique de côté comme une réserve scientifique, établit la liberté d'investigation scientifique et interdit les activités militaires sur le continent. Le traité a été le premier accord de contrôle des armements établi pendant la guerre froide. Depuis septembre 2004, le siège du Secrétariat du Traité sur l'Antarctique est situé à Buenos Aires, en Argentine.
Callitriche antarctique : Callitriche antarctica , communément connue sous le nom de pyrale antarctique , est une petite plante prostrée avec de minuscules fleurs jaunes de la famille des Plantaginacées. On le trouve dans des endroits humides sur de nombreuses îles subantarctiques et a une large distribution circumantarctique, ce qui se reflète dans son épithète spécifique.
Callitriche antarctique : Callitriche antarctica , communément connue sous le nom de pyrale antarctique , est une petite plante prostrée avec de minuscules fleurs jaunes de la famille des Plantaginacées. On le trouve dans des endroits humides sur de nombreuses îles subantarctiques et a une large distribution circumantarctique, ce qui se reflète dans son épithète spécifique.
Baleines de l'Antarctique : Les baleines de l'Antarctique sont toutes les baleines connues pour résider près de l'Antarctique pendant au moins une partie de l'année. Ceci comprend: Baleine à bec d'Arnoux Baleine bleue Cachalot nain Rorqual commun Baleine à bec de Gray Baleine à bosse Petit rorqual Petit rorqual de l'Antarctique Baleine franche pygmée Cachalot pygmée Baleine boréale Baleine à bec commune Baleine franche australe Cachalot Baleine à dents de sangle
Antarctique: L'Antarctique est le continent le plus au sud de la Terre. Il contient le pôle Sud géographique et est situé dans la région antarctique de l'hémisphère sud, presque entièrement au sud du cercle antarctique, et est entouré par l'océan Austral. Avec 14 200 000 kilomètres carrés, c'est le cinquième plus grand continent et près de deux fois la taille de l'Australie. C'est de loin le continent le moins peuplé, avec environ 5 000 personnes en été et environ 1 000 en hiver. Environ 98 % de l'Antarctique est recouvert de glace d'une épaisseur moyenne de 1,9 km, qui s'étend jusqu'aux vallées sèches de McMurdo et aux parties les plus septentrionales de la péninsule Antarctique.